Catégorie : L’Usine

Philippe Haumesser expose à l’usine d’Uxegney les week-ends d’août de 10h à 18h30. Alsacien d’origine, ingénieur Arts & Métiers de formation, Philippe est devenu autodidacte artistique par nécessité vitale lorsqu’au recommencement, la photographie devint sa méditation, sa réunification, son ancrage à l’ici-maintenant.

Les Anka Girls, qui exposent du 8 au 30 juillet 2023 à l’Usine sont deux femmes, deux personnalités bien trempées qui créent des œuvres à quatre mains depuis 2011. 

La peinture de Aldo Parvillez, qui expose dans la galerie des Arcades à l’Usine du 8 au 30 juillet 2023, porte vers des signes graphiques vigoureux, inscrits dans un espace où le vide contribue parfois à l’équilibre de la composition.

Levé de rideaux sur les toiles de Gary. Exposition à l’Usine du 3 au 25 juin 2023. Loin de la noirceur présente chaque jour dans l’actualité, chaque toile, par les couleurs et l’éternel optimisme de Gary, nous donne une lueur d’espoir sur notre monde.

Anthony Danzo expose à l’Usine du 3 au 25 juin ses aquarelles au style complexe qui reposent sur des dessins exigeants, fourmillant de mille détails, sublimés ensuite par l’alchimie des pigments qu’il entremêle pour donner vie aux scènes futuristes ou fantastiques qu’il imagine.

MAU est la signature de l’ensemble de l’œuvre d’Emmanuelle Henry, artiste auteur qui expose à l’Usine les week-ends après midi du 3 au 25 juin 2023.
Son œuvre picturale figurative puise ses inspirations graphiques dans les grands mouvements du début du 20ème siècle…

« Metaleau », alias Jérémy Barford expose à L’Usine du 6 au 28 mai 2023

Métaleau a commencé à travailler le métal à Londres dans les années 80 lors de ses premières expériences artistiques à partir de matériaux de récupération. Impressionné et sensibilisé par cette matière, il a appris et a pratiqué le métier de métallier.

Caroline Ballet expose ses peintures à l’Usine, rue Victor Perrin à Uxegney tous les weekends et jours fériés du mois de mai de 14h à 18h30.

Pratiquant une peinture austère, qui n’est pas sans rappeler le tragique hispanique d’un Goya, le roubaisien Peccolo peint l’humanité aux prises avec une certaine âpreté. Sa peinture fait rejaillir les drames humains et rappelle à celui qui la regarde que même les existences les plus ordinaires peuvent valoir quelque chose.

Sylvie Cliche explore nos intériorités sans concession et met à nu nos entrailles.
De ses sculptures émanent un cri sourd : elles dressent le constat d’un monde qui s’ébranle. Terre, bois, fer, béton et fils sont ses seuls moyens de survie.