Catherine Jubert Acensio aime se qualifier de « moissemeuse » d’images.
Après être intervenue de manière plastique sur les images : collage analogique, eau, congélation, encre et broderie ; le collage numérique et le photomontage sont désormais son mode d’expression préféré.
Chaque jour, elle collecte des images qu’elle puise dans sa collection personnelle ou sur Internet pour les transformer.
Elle peut passer des heures à jouer avec elles et à les manipuler. Ainsi, de juxtapositions en superpositions, la métamorphose s’opère pour aboutir à une œuvre personnelle aux frontières de l’onirisme, du fantastique et du surréalisme.
Le processus mis en œuvre s’apparente à la rêverie et plus précisément au travail du rêve tel que le décrit Freud dans « L’interprétation du rêve » : condensation, déplacement, figuration. Ensuite, il lui suffit de laisser parler son inconscient.
De cette métamorphose naissent d’étranges créatures hybrides, à la frontière de l’humain, de l’animal et du végétal, du monstrueux et du sublime, de l’intérieur et de l’extérieur, du réel et de l’imaginaire.
Non sans un certain humour (noir), elle aborde des thématiques liées aux corps des femmes, à la mort, au temps et à la mémoire.
Entre mots et images, Le cœur de Catherine Jubert balance depuis toujours.
Littéraire de formation et auteure, la photographie lui sert également de tremplin pour raconter en images des histoires.
C’est après une reconversion professionnelle en 2014 et des études d’art-thérapie qu’elle a commencé à pratiquer la photographie plasticienne en autodidacte. Depuis 10 ans, elle participe régulièrement à des expositions collectives ou individuelles.
Catherine Jubert est actuellement art-thérapeute, Photo-Thérapeute, formatrice et photographe plasticienne.
catherine jubert asencio photographe plasticienne
Catherine Jubert (@mille_autres_vies) • Photos et vidéos Instagram