
Martine Attia expose à l’Usine du 9 au 31 Août 2025. Entrée libre les week-ends de 14h à 18h30.
Longtemps après avoir quitté l’Algérie, elle ne peut s’empêcher d’y revenir de toile en toile ; négligeant les paysages de France et de Navarre pour ne peindre que cette Algérie qu’elle n’a jamais connue mais qu’elle porte en elle.
20 ans la séparent déjà de son premier retour à Alger. Elle a trouvé une ville qu’elle avait cherchée partout ailleurs, qu’elle avait cru retrouver à Tunis, à cause de l’odeur du jasmin, à Marseille à cause de la mer et de Notre Dame de la Garde, mais non, ce n’était pas le parfum des soirs d’été d’Alger, ce n’était pas notre Dame d’Afrique…
Seule Alger, la lumière, les parfums, la mer …
Alger la même et pourtant différente où le Haïk traditionnel blanc est remplacé par le Hijab, depuis les années de plomb…
Alger la blanche / Alger la noire



